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Introduction Je montre que le l’anomalie flyBy est la conséquence de la force de trainée du flux gravitationnel sur le module spatial. La densité du flux décroit selon le cosinus de la latitude autour des planètes satellites et étoiles. Ce qui est expérimentalement observé par l’anomalie nous donne les mêmes résultats que l’influence de la force de trainée selon que la densité du flux gravitationnel croît ou décroit avec la latitude, lors de son retour sur Terre.
Dans l’introduction du 7 mars 2008 de physical review letters Anomalous Orbital-Energy Changes Observed during Spacecraft Flybys of Earth(85)
Introduction.—Between December 1990 and September 2005, deep-space missions were launched to Jupiter (Galileo mission), to an asteroid (NEAR mission), to a comet (Rosetta mission), to Saturn (Cassini mission), and to Mercury MESSENGER mission). During flight, each of these missions was targeted to one or more flybys of Earth for purposes of either gaining or losing heliocentric orbital energy in order to reach their eventual target body [1].
When the first of these flybys, Galileo I, occurred on 8 December 1990, mission engineers at the Jet Propulsion Laboratory (JPL) noticed an unexpected frequency increase in the postencounter radio Doppler data generated by stations of the NASA Deep Space Network. Three of us (JDA, JKC, JFJ) studied this anomalous frequency shift during 1990–1993, but no explanation was found. A second flyby by the Galileo spacecraft exactly two years later (Galileo II) passed through the Earth’s upper atmosphere at an altitude of about 300 km. Atmospheric drag prevented an unambiguous detection of a flyby anomaly [2]. Subsequently however, NEAR mission navigators at JPL [3] and Rosetta mission navigators at the European Space Operations Center (ESOC) in Darmstadt Germany [4] noticed anomalous frequency increases in the postencounter Doppler signals for those two flybys. The Cassini spacecraft also provided an Earth flyby. However, small thrusting maneuvers at the time of its closest approach obscured any immediate detection of an anomalous Doppler shift [5]. Finally, in August 2005, the MESSENGER spacecraft flew past Earth, but no anomaly was detected by the mission navigators [6].
We report here on results from a recent study involving the data analysis and interpretation of radio Doppler data from all six flybys. We find that there is indeed an anomalous energy change during Earth flybys on the order of 10-6, although we have been unable to find a physical cause or systematic error source for the anomaly. However, we have found an empirical prediction formula that fits all six flybys successfully. Its latitude dependence suggests that the Earth’s rotation may be generating an effect much larger than the frame dragging effect of General Relativity,the Lense-Thirring effect [7]. Among all solar-system bodies, the Earth provides the best natural laboratory forrevealing anomalous effects, having both a relatively rapid rotation and a gravitational field well determined from artificial satellites [8].
FLYBYS: OBSERVED
Table 1: Flybys: observed. The mission name (column 1), the initial and final flyby speed (column 2 et 3), the initial and final latitudes (4 et 5), the observed anomalous velocity jumps (6) (from Anderson et al. 2008).
Les données proviennent selon M.E. McCulloch Modelling the flyby anomalies using a modification of inertia.(86) La colonne 8 correspond à une augmentation ou une diminution de densité du flux gravitationnel (rf) qui est proportionnelle à la force de trainée. Nous percevons que la variation de vitesse delta V est positive lorsque la force de trainée diminue (signe moins « -») dans la colonne 8 et inversement.
La force de trainée du flux gravitationnel est F =1/2 rf cd A (Vitesse relative)2 La force de trainée du flux gravitationnel est F =1/2 rf cd A (Vitesse flux – Vitesse objet)2 rf est la densité du flux. A est la surface de référence, cd le coefficient de traînée.
La vitesse du module provient et varie par plusieurs forces; la force de propulsion interne, la force d’attraction, la force de trainée. Dans le cas de l’anomalie flyby, la force de trainée varie lorsque la latitude varie.
La force de trainée, lors de l’entrée du module, augmente lorsque la sonde spatiale se rapproche de l’équateur (latitude 00) par une plus forte densité du flux gravitationnel. Et inversement, la force de trainée diminue lorsque le module va vers les pôles, par une moins forte densité du flux gravitationnel. En enlevant de la force de trainée le module augmente sa vitesse, et inversement en augmentant la force de trainée le module diminue sa vitesse. La densité du flux gravitationnel rf en tourbillon autour de la Terre est à son apogée proche de l’équateur et diminue en allant vers les pôles, proportionnellement au cosinus de la latitude.
Nous voyons dans le tableau pour les modules Galileo-II et Cassini, la direction par les latitudes vont vers une plus faible latitude donc vers l’équateur ce qui augmente la force de trainée (signe plus « +») dans le tableau. Une augmentation de la force de trainée se traduit par un ralentissement de la vitesse du module. C’est effectivement ce qui est expérimentalement observé. Nous voyons aussi que Galileo-II à une plus grande variation de latitude que Cassini, c’est la raison d’un plus fort ralentissement de sa vitesse -4.6 mm/s contre -2 mm/s pour Cassini.
Dans les autres cas, Galileo-I, NEAR et Rosetta, la direction par les latitudes vont vers une plus fortes latitude donc vers les pôles ce qui diminue la force de trainée (signe moins « -») dans le tableau. Une diminution de la force de trainée se traduit par une augmentation de la vitesse du module. C’est effectivement ce qui est expérimentalement observé.
Pour le module Messenger, nous voyons qu’il passe de la latitude 31.40 jusqu’à l’équateur 00 et de 00 à -31.90. Le passage de 31.40 à l’équateur 00 augmente la force de trainée mais est compensé par la diminution lorsque le module passe de 00 à -31.40. Il ne reste plus qu’une faible diminution de force de trainée puisque le module va de -31.40 à -31.90 vers le pole. C’est la raison de la plus faible variation delta V/s = 0.02 mm/2.
La décroissance de la densité du flux gravitationnel rf suit 1/R2 par la relation rf = Ks M1/2/ R2
L’accélération a= dV/dt est : a = F / m a = delta force de trainée / masse du Module a= (force de trainée fin – force de trainée début)/ masse du Module a = (force de trainée (Latitude fin) – force de trainée (Latitude début))/ masse du Module a = (force de trainée (rf à Latitude fin) – force de trainée (rf à Latitude début))/ masse du Module a = (1/2 (rf à Latitude fin) Cd A (Vitesse relative)2– 1/2 (rf à Latitude début) Cd A (Vitesse relative)2)/ masse du Module a = 1/2 *cd A (Vitesse relative)2 (rf à Latitude fin – rf à Latitude début) / masse du Module a = 1/2 *cd A (Vitesse relative)2 (rf équateur * cos(Latitude fin) – rf équateur * cos(Latitude début) / masse du Module a = 1/2 *cd A (Vitesse relative)2 rf équateur (cos(Latitude fin) – cos(Latitude début) / masse du Module
a = force de Trainée (cos(Latitude fin) – cos(Latitude début) / masse du Module
Il est approprié de faire le calcul de l’accélération. Pour cela il est nécessaire de connaitre les masses des modules des missions et si possible leur masse volumique, lors du retour. La vitesse relative est la différence vectorielle de la vitesse du flux avec la vitesse inertielle du module. La vitesse V du flux provient de V2 R=GM. L’altitude a aussi son importance puisque la vitesse du flux diminue R.
Matiere noire et flyby(16)
L'anomalie de flyby peut-elle être attribuée à la matière noire reliée à la terre ? Stephen L. Adler* Institut d'études supérieures, Chemin Einstein, Princeton, NJ 08540, USA. Nous effectuons des évaluations préliminaires pour évaluer si l'anomalie récemment rapportée de flyby peut être attribuée aux interactions de matière noire.
Dans un document récent, Anderson et al. ont rapporté des changements orbitaux d'énergie anormaux, de l'ordre de 1 pour 106, pendant les flybys de la terre de divers vaisseaux spatiaux. Quelques flybys montrent une diminution d'énergie alors que d'autres montrent des augmentations d'énergie, avec la polarité et les grandeurs liés à l'orientation initiale et finale du vaisseau spatial en rapport avec le plan équatorial.
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