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De l’électron au Soleil Nous avons vu dans la thèse sur l’unification des forces que le flux gravitationnel ou flux du vide ou champs gravitationnel est en rotation autour des corps. Il participe à la fonction essentielle de la gravitation. Une mer de particules étranges (quarks) en rotation autour du proton a été expérimentalement confirmée. Pour pouvoir produire cet effet, le proton, l’électron ou le quark ont un mouvement de rotation intrinsèque, engendrant la giration de ce flux de particules virtuelles.
Le Soleil et les corps planétaires sont des ensembles de nucléons, protons, quarks et d’électrons, leurs particules élémentaires sont entourées d’un flux gravitationnel en vortex.
Doubles raies sur le spectre de l’atome Une particule comme un électron ou un quark est une onde électromagnétique se déplaçant à la vitesse de la lumière dont la partie électrique tourne en boucle. Perpendiculairement à ce déplacement, un champ magnétique suit la partie électrique le tout formant une boule électromagnétique.
Au repos, la vitesse du centre de gravité (CG) de la particule est nulle. En augmentant la vitesse du CG de l’électron, la vitesse de la partie électrique de l’onde en boucle ne change pas. Son déplacement cinétique inertiel n’est pas lié et ne s’additionne pas à la vitesse intrinsèque de l’onde tournant en boucle.
Si dans un atome le déplacement du CG de l’électron atteint autour d’un noyau ou d’un proton la vitesse de niveau d’énergie 1 soit V1, l’onde tournant en boucle de l’électron sera toujours à la vitesse de la lumière, sa boucle formera une vrille. La boucle électrique se déplaçant à la vitesse de la lumière de l’électron, conserve son rayon, sa fréquence, sa longueur d’onde et son énergie E=hu, indépendamment du niveau d’énergie ou de la vitesse cinétique du CG de l’électron.
La fréquence de l’orbite stable de l’électron dans l’atome u1 = c/(2p R1), module l’onde intrinsèque de l’électron étant à la fréquence axiale ue = c /(2p Re). Re est le rayon de la boucle. L’onde émise et propagée de l’atome porte les deux fréquences et inscrit des doubles raies sur le spectre de l’atome.
Transition entre un photon et une particule Une particule massive, un électron ou un proton, ont un quantum d’action en boucle à la vitesse de la lumière et une vitesse cinétique bien au dessous de la vitesse de la lumière.
Un rayon ELM est une particule que l’on nomme aussi photon, il a aussi un quantum d’action en boucle à la vitesse de la lumière. C’est sa partie ondulatoire et son CG va également à la vitesse de la lumière. Il conserve le rayon R de la boucle, sa longueur d’onde 2p R et sa fréquence u= c /(2p R), donc son énergie E = h u.
Le photon, en ralentissant son mouvement cinétique du CG, conserve son moment angulaire. Comme la vitesse du quantum d’action en boucle est toujours à la vitesse de la lumière, il s’ensuit que le rayon de la boucle est constant. Donc sa longueur d’onde et sa fréquence sont invariables. Comme l’énergie dépend de la fréquence E = h u, elle est donc conservée. Lorsque la vitesse cinétique augmente, la boucle d’énergie en vrille s’ouvre d’autant en augmentant la distance du pas de la vrille.
Structure d’onde-particule Le rayon électromagnétique (soliton, onde stationnaire) et la particule, sont deux états d’une même entité puisque la particule est onde tournant en boucle tout comme pou le photon. La différence réside uniquement dans la vitesse cinétique du centre de gravité. Les effets produits dépendent de leur état. Le pas de vrille de la boucle est proportionnel à la vitesse cinétique de la particule.
La charge apparaît et augmente lorsque le pas de la vrille diminue, donc au repos elle a sa valeur maximum, elle suit le principe de la spire d’un solénoïde. Plus il est long plus le flux magnétique est faible (voir l’article : L’atome et la charge). Plus la vitesse cinétique est grande, plus le solénoïde est long et moins il y a de charge. La sphère de la particule se forme par le champ magnétique entourant perpendiculairement le quantum d’action en boucle. Je reproduis un extrait d’un article qui développe un modèle d’électron en boucle ou modèle de l’électron en anneau, parue en anglais dans « common senses science » (14) : ”Radius of the Electron, the radius of the free electron is easily found from measurements of its magnetic moment µ sinceµ = πR2I. Using I = ?e/2π where the rotation rate ? = c/R provides the relationship between radius and magnetic moment, R = 2µ / ec. The calculation shows the radius of the free electron is 3.86607 x10-13 meter. The radius can also be specified as R = h/(2 π m c) so that the circumference of the ring is seen to equal the de Broglie wavelength. (,,,) The ring model of the electron is a physical model, in contrast to the abstract mathematical description given for the quantum electron. The ring model depends upon well-established laws of electricity and magnetism, and it is a classical electrodynamics model that follows the law of cause and effect. It appears to be free from internal contradictions and defects that characterize other models that have been proposed.
Shape of the Electron : This analysis of the spinning charged sphere shows that it cannot be stable and is therefore unsuitable as a model for the free electron. The model must have some shape such that a rotation gives all its parts a constant velocity. Only one possible shape meets this requirement: a very thin ring (i.e., the ring must have a thickness radius r that is small in comparison with the ring radius R).”
Properties of the Spinning Ring Model: Is it possible to develop a model of the electron based on Classical Electrodynamics that agrees with the known characteristics of the electron? Yes. The spinning ring model of the electron has properties that match measured features of the electron.
The ring model of the electron is a physical model, in contrast to the abstract mathematical description given for the quantum electron. The ring model depends upon well-established laws of electricity and magnetism, and it is a classical electrodynamics model that follows the law of cause and effect.
Le Proton Recherchons, pour produire la rotation d’une onde, un rayon équivalent autour duquel l’énergie totale E = Mp c2 du proton au repos peut orbiter en toute stabilité et en conservation du moment angulaire axial.
Relions la condition de stabilité du moment angulaire ћ = M V R avec l’équivalence de l’énergie E = Mc2.
Prenons la masse M du proton. Le rayon Rp est celui qui donne une stabilité par la condition de stabilité angulaire. La vitesse ondulatoire électromagnétique à la vitesse de la lumière. Le tout pour correspondre à une l’énergie équivalente de la masse propre du proton. E = M c2 La masse du proton Mp = ћ / ( R V ) = ћ / ( Rp c ) = Ep / c2 = 1,67262x10-27 kg. L’énergie du proton Ep = ћ c / Rp = Mp c2 = 1,50327742x10-10 joules
Rp Rayon de l'orbite axiale du proton : Rp = ћ / (M c) = 2,10309. 10-16 mètre Ep = p c p = M c = ћ / R Rp = ћ c / Ep = ћ / p = 2,10309. 10-16 mètre. Rp correspond au rayon de la longueur d’onde des particules de de Broglie selon ?_=_2_p_Rp_=_h_/ (m c). Les particules massives peuvent être considérées comme un système stable ayant une onde tournant en boucle avec un rayon constant conservé. Pour augmenter la masse d’une particule, il faut diminuer son rayon, ce qui nécessite un apport d’énergie extérieur et l’appliquer sur le moment angulaire L = ћ = ( E/c2) c R) = E R /c, ce qui peut être produit en fusionnant l’énergie de quarks sur une même boucle pour former un ensemble plus massif et plus énergique.
La dualité Vers une théorie des particules ? (Par Jean-Moret BAILLY professeur de Physique) Le problème de la dualité onde corpuscule n'est pas résolu par la mécanique quantique qui propose aux physiciens de décider arbitrairement d’étudier une onde ou une particule. En introduisant une permittivité non linéaire, fonction convenable du module du champ électrique, les opticiens construisent des filaments de lumière rectilignes stables. En ajoutant une perméabilité non linéaire, nous avons démontré que * les filaments peuvent être courbés et refermés en tores *, formant des solitons tridimensionnels éventuellement statiques qui piègent une énergie électromagnétique quantifiée, mais interagissent avec des ondes externes. En particulier un de ces solitons peut interférer avec lui-même en traversant un des trous de Young : le soliton est à la fois particule et onde. (12) (13) (3+0)D électromagnétique solitons and de Broglie’s ”double solution”. Jacques Moret-Bailly. Professeur d’Université retraité ayant fondé et longtemps dirigé un laboratoire CNRS. May 23, 2006
Quelques réflexions élémentaires Il est possible que les quarks formant le proton soient fusionnés en une seule boucle d’énergie minimisant ainsi la taille de l’ensemble puisque le rayon de la boucle est inverse à l’énergie E =h ? =h c /(2 p R).
L'énergie E = m c2 d’une particule est une onde électromagnétique tournant en boucle de rayon R allant à la vitesse c, propagé dans le vide dans son propre référentiel.
La particule a son énergie en mouvement angulaire. Ce mouvement de l’énergie produit un entrainement infime de la mer de particules dans le même sens, toujours en conservation d’énergie angulaire. La boucle d’énergie électrique de l’onde, son champ magnétique et son flux secondaire en rotation, sont un tout formant la particule.
Dans une antenne émettrice, un circuit oscillant déplace les électrons à une certaine fréquence. L’électron vibre et transmet la fréquence dans le flux du vide ambiant qui à son tour vibre à la même fréquence et se propage. Le flux du vide se trouve aussi dans ce que nous appelons la matière, puisque la matière est formée seulement d’onde électromagnétique.
Un quantum d’action acquiert une fréquence selon le degré du rayon courbure R de la boucle, f = c/(2 p R) et devient un rayon-particule.
Une particule, une onde tournant en boucle. La rotation tourbillonnaire du flux gravitationnel de la Terre est créée par les fusions successives de tous tourbillons gravitationnels des particules qui la composent. La particule, comme la Terre et son flux, dérive dans le flux du Soleil.
Le tourbillon gravitationnel et l’onde électromagnétique tournant en boucle composent la particule en un tout inséparable. La particularité du tourbillon de particules virtuelles est qu’il se renforce par le cumul des tourbillons de chaque corps, créant un tourbillon toujours de constante plus grande K = V2 R = G Mtotal = G M1 + G M2 ... .
Origine de la masse et de E = M c2 Une particule a un rayon de De Broglie Rc sur lequel une énergie ћ ou quantum d’action est en boucle à une vitesse invariable c, dans le vide. Plus le rayon Rc est petit, plus la pulsation de la particule ω = c / Rc est grande, donnant une énergie résultante E = ћ ω plus grande. La masse est équivalente à la conservation du moment angulaire L = ћ = M c Rc. La masse M = ћ / (c Rc) est inverse au rayon de la boucle Rc = ћ / (c M), Ce qui donne l’équivalence, avec E = ћ ω = ћ c/ Rc et Rc = ћ / (c M), E= ћ c /( ћ / (c M)) = M c2 E = M c2 La formule d’Einstein provient bien d’une particule ayant un quantum d’action en boucle à la vitesse de la lumière en conservation du moment angulaire : L = ћ = M c Rc. La masse au repos est bien dépendante du moment angulaire et du rayon de la boucle. Plus le rayon de la boucle est petit plus la masse est grande. L’électron est donc plus volumineux que le proton, son rayon étant plus grand.
Fusion et fission d’une seule particule ? Un électron peut être transformé en proton ou en quarks en diminuant son rayon par une énergie qui ajoute à l’électron de l’énergie, sous forme de masse équivalente, en changeant le rayon de la boucle avec un moment angulaire conservé.
Les quarks, comme toutes particules massives, peuvent soit se lier par gravitation, soit se fusionner en une seule particule élémentaire. Une particule peut se briser. C’est la fission d’une particule. Elle se transforme en d’autres particules d’énergies plus faibles conservant chacune le moment angulaire ћ = m c R et en changeant de Rayon R. La masse change automatiquement par la conservation de la constante ћ /c = m R. Une particule de masse m0 se fissure en deux masses m1 et m2. Elles auront par la conservation du moment angulaire (ou vice versa pour la fusion) : m0 = ћ /(R0 c ) m1 = ћ /(R1 c ) m2 = ћ /(R2 c ) C’est bien seulement le rayon qui a changé. La somme des masses : m0 =m1 + m2 La somme des inverses des rayons : 1/R0 = 1/R1 + 1/R2 La somme des fréquences des particules ?0 = ?1 + ?2 La somme des inverses des longueurs d’onde des particules : 1/?0 = 1/?1 + 1/?2 = c/?0 = c/?1 + c/?2 La conservation de l’énergie est E0 =E1 + E2 = h ?0 = h ?1 + h ?2. Ce phénomène permet de généraliser l’assemblage de particules en deux états possibles. Soit elles s’unissent et chacune d’elle garde son énergie, sa fréquence et sa longueur d’onde, soit elles fusionnent ensemble et forment une nouvelle particule avec une nouvelle fréquence par cumul et conservation d’énergie.
Origine du champ gravitationnel d’une particule Un quantum d’action en boucle à la vitesse c produit un champ magnétique perpendiculaire à la boucle. Le champ forme, par son déplacement, une sphère. Le champ électromagnétique en rotation fait très légèrement tourbillonner le flux du vide autour de la particule dans le sens de la boucle. Le flux du vide en rotation conserve son moment angulaire. Ce tourbillon de flux du vide est le champ gravitationnel de la particule. Ce mouvement de rotation, autour de la particule, entraîne « le vide » dans le tourbillon de proche en proche, conservant toujours le moment angulaire. La vitesse de rotation du flux du vide diminue avec la distance selon la loi de Kepler correspondant à la constante V2 R.
La vitesse de gravitation Vg orbitale du flux est liée à l’anneau ondulatoire de la particule. La vitesse Vg est plus rapide lorsque le rayon de la particule est plus petit, puisque l’onde tournant en boucle à la vitesse de la lumière fait plus de tours par seconde.
Démonstration que la constante de gravitation (V2 R) augmente lorsque le rayon de la boucle de la particule diminue V2 Ro est une variante de la constante de la 3ème loi de Kepler. La vitesse orbitale de l’objet V et le rayon Ro sont liés par une constante. T est la période de l’orbite de l’objet en révolution, pour un cercle T = circonférence /Vitesse de l’objet (a3 / T2) = Ro3/T2 = Ro3 / (2 p Ro / Vitesse)2 V2 Ro3 / (4 p 2 Ro2) = V2 Ro /(4 p2) = constante, donc V2 Ro = (4 p2) a3/T2 = constante. Newton nous donne avec une masse centrale M; G M = (4 p2) a3/T2 = constante. V2 Ro = (4 p2) a3/T2 =G M = G E /c2 = G h ? /c2 = constante V2 Ro = G h (c/(2p rparticule)) /c2 = constante V2 Ro = G h /( 2p c rparticule) où c est la vitesse de l’onde en boucle de la particule et V la vitesse de rotation du flux du vide (tourbillon secondaire). V2 Ro = G ћ /(c rparticule) =( G ћ /c) / rparticule = constante ( V2R) rparticule = G ћ / c = constant pour un même système. Pour une particule, la variante de Kepler V2 R augmente lorsque le rayon de la boucle de la particule diminue.
Rayon de l’électron La relation d'Einstein-Planck donne la fréquence propre de l'électron et sa vitesse de rotation : E = h n = m c2 w = 2p n = m c2/ ћ On obtient pour l'électron un rayon Re BB: Re = c / w = ћ /(m c) = Rc. est le rayon proposé par de Broglie, qui apparaît aussi dans l'équation de Klein-Gordon. Rélectron = ћ /(c me) = 3,86372x10-13 m. Rproton = ћ /(c mp) = 2,10309x10-16 m. Le quantum d’action de l’onde tournant en boucle sur un rayon Rx= ћ /(c mx) est le modèle choisi. Un électron, qu’il s’intègre harmonieusement a notre modèle. En fait, le quantum d’action de l’onde tourne en boucle sur son orbite intrinsèque Re, puis dans l’atome, sur une orbite stable de niveau un autour du proton de rayon R1 et de vitesse V1, avec la conservation des deux moments angulaires intrinsèques et autour du proton. Cette particularité fournit une explication aux doubles raies spectroscopiques des atomes et aussi, résout le problème de l’origine de la constante de la structure fine dans l’atome.
Je reproduis un extrait d’un article qui développe un modèle d’électron comme une boucle de le courant circulaire ou modèle de l’électron en anneau, parue en anglais dans « common senses science » (14) :
We now know that the ring model of the electron as a loop of circulating current will resonate with standing waves that are constrained to a multiple number of wavelengths (with peaks and nodes of electromagnetic field intensity) formed around the circumference of the ring. Also, the classical electrodynamics behaviour of the ring electron’s fields provides a causal explanation for the wavelike phenomena observed (e.g., electrons in a double slit experiment).
Nous savons maintenant que le modèle d'anneau de l'électron en tant que boucle de courant circulant, fonctionnera avec les ondes stationnaires qui sont contraintes à un nombre multiple de longueurs d'onde (avec des crêtes et des noeuds d'intensité de champ électromagnétique) formées autour de la circonférence de l'anneau. En outre, le comportement classique d'électrodynamique des champs de l'électron en anneau, fournit une explication causale pour les phénomènes ondulatoires observés (par exemple, les électrons dans une expérience de double fente).
Historique « la masse est électromagnétique » Le Tout électromagnétique (50) Henri Poincaré Sur la dynamique de l’électron ( Poincaré H. Comptes rendus de l’Académie des Sciences de Paris, 140, pages 1504-1508, Texte du 5 Juin 1905.)
…. Mais avec l’hypothèse de Lorentz, l’accord entre les formules ne se fait pas tout seul ; on l’obtient, et en même temps une explication possible de la contraction de l’électron, en supposant que l’électron, déformable et compressible, est soumis à une sorte de pression extérieure dont le travail est proportionnel aux variations de volume. Je montre, par une application du principe de moindre action, que, dans ces conditions, la compensation est complète, si l’on suppose que l’inertie est un phénomène exclusivement électromagnétique, comme on l’admet généralement depuis l’expérience de Kaufmann, et qu’à part la pression constante dont je viens de parler et qui agit sur l’électron, toutes les forces sont d’origine électromagnétique. On a ainsi l’explication de l’impossibilité de montrer le mouvement absolu et la contraction de tous les corps dans le sens du mouvement terrestre.
Walter Kaufmann a été le premier à montrer la dépendance de la vitesse à la masse. Kaufmann, 1903 " Über die elektromagnetische Masse der Elektrons".
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