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«Si nous savions ce qu’est un rayon de lumière, nous saurions beaucoup de choses». Louis de Broglie.
Expérience de Michelson En 1887 Michelson et Morley ont réalisé une série d’expériences de mesures sur la différence de vitesse de la lumière par deux rayons de directions perpendiculaires. C'est une des plus importantes et célèbres expériences de la physique. Cette expérience a été conçue par Michelson pour mesurer la vitesse de la lumière dans son support supposé (l'éther) et en se basant sur la loi classique de l'addition des vitesses.
La Terre sur son orbite autour du Soleil, avec une vitesse d'environ 30 km/s était le laboratoire idéal pour déceler une variation de la vitesse de la lumière sur des parcours identiques en longueur mais qui devaient être différents en temps selon qu'ils étaient dans le sens du mouvement ou perpendiculaire au vent d'éther.
Finalement Michelson et Morley affirmèrent que la vitesse de la Terre par rapport à l'éther est nulle, et montre aussi que la vitesse de la lumière est la même dans toutes les directions.
Une petite vitesse de l’éther de l’ordre de 7 900 m/s a été, à l’époque, interprétée comme erreur de mesure. Cette expérience est sans doute la plus célèbre des expériences négatives (donnant un résultat contraire à ce qui était recherché). Plusieurs tentatives d'explications classiques échouèrent et c'est Ernst Mach qui le premier émit l'hypothèse qu'il fallait rejeter le concept d’éther. Il fut suivi par Einstein, puis Mach comme Einstein a réintroduit l’existence de l’éther seulement pour ne pas invalider la relativité générale(3)(4). Einstein imposa un éther immobile. Les scientifiques ne saisirent pas l’importance de réactualiser l’éther et restent jusqu'à maintenant sous la première hypothèse.
Maurice Allais et la vitesse de la lumière Maurice Allais a repris les calculs de Michelson Morley. Il a confirmé ce que les Michelson et Morley ont affirmé, « les mesures ne montrent pas de vent d’éther dû au déplacement de la Terre autour du Soleil à 30 km/s ». Par contre il trouve un déplacement de l’ordre de 8 km/s. Il pense que les 8 km/s sont dus à une perturbation locale, qui pourrait être liée à l'influence de la Lune et qui entraîne une anisotropie locale.
L’interprétation de Maurice Allais (33) (34): « 6.- Ainsi, un vent d'éther de 8 km/s à la surface de la Terre est engendré par le mouvement de la Lune ». Il annonce que la relativité générale ne tient plus, puisque la vitesse de la lumière n’est pas constante dans toutes les directions, ainsi que l’éther existe et n’est pas fixe.
La valeur trouvée 8 km/s n’est pas due à la Lune, comme le prétend Maurice Allais, mais plutôt à une rotation des énergies du flux gravitationnel produite par la Terre.
La vitesse 8 km/s correspond effectivement à cette rotation à la surface de la Terre selon la 3ème loi de Kepler T2/a3 qui est constante dans un système central. La vitesse décroît en s’éloignant de la Terre. Elle est d’environ 8 000 m/s à la surface, selon le calcul : V = (g R)1/2 Vitesse =(9,80665 * 6 375 470) ½ = 7 907,08 m/s V est la vitesse du satellite, g est la gravitation de la terre à la surface, R est le rayon de la terre. Je suis en accord avec les résultats expérimentaux de Maurice Allais de la variabilité de la vitesse de la lumière pour les ondes propagées. Nous verrons dans les chapitres suivant que les ondes hertziennes sont propagées et que les rayons de particules ont une trajectoire. Ils ne sont pas propagés. Leur vitesse cinétique n’est pas fixe. Elle peut provenir d’un électron ou autre particule et avoir des vitesses variables au repos ou être plus ou moins accélérée. Je conserve par contre une autre interprétation sur les origines des causes et sur certains des résultats de Maurice Allais. La vitesse de la lumière pour les ondes est constante dans un même référentiel. La vitesse de propagation doit être analysée pour des ondes propagées et non pas pour des rayons. Ces deux ondes rayon et ondes hertziennes n’ont pas le même mode de transmission. Je développe le sujet de la nature de certains rayons dans le chapitre sur la masse et sur la nature de l’électron.
Le cumul vectoriel des vitesses dans plusieurs référentiels nous donne une vitesse de la lumière différente. Dans ce cas, à la surface de la Terre, le vent du flux gravitationnel va à 7907 m/s, alors que la Terre tourne à 463 m/s en surface à l'équateur. Ces deux référentiels distincts peuvent nous faire percevoir une vitesse de la lumière différente. C’est d’ailleurs ce que les calculs de Maurice Allais sur les données de Michelson Morley ont démontré. D’ailleurs, il est très difficile, quasi-impossible, de trouver le déplacement du flux à 30km/s recherché par cette expérience, puisque la Terre, sur son orbite, est co-mobile dans ce tourbillon de flux gravitationnel produit par le Soleil.
Je préfère dire que le flux gravitationnel, avec ses propriétés, est en rotation avec ses particules virtuelles, et que les masses, atomes, objets, et planètes sont entrainés et co-mobile avec lui, plutôt que de dire, comme Allais, que l’éther est en rotation. Ceci pour mieux visualiser et interpréter les effets. Autrement il serait nécessaire de trouver l’origine et les particules élémentaires qui composent l’éther ce qui réactualiserait un débat sans fin.
Les propriétés du vide en rotation qui permettent la propagation des ondes hertziennes et l’éther dynamique d’Allais sont une seule et même entité. Mes recherches sur la rotation du vide (flux gravitationnel) avaient déjà aboutis avant que je ne prenne connaissance de celle de Maurice Allais. La concordance par les expérimentations de Michelson et Miller qu’il en a déduit, fourni une expérimentation à une partie de ma théorie sur la gravitation et sur l’entraînement des planètes par un flux, comme le prétendais aussi Kepler, Descartes, Fontenelle et ses prédécesseurs avant que Newton ne change la direction des forces gravitationnelles.
Suite aux expériences concluantes de Miller, la communauté scientifique avait pris le parti de la théorie contre les faits en dépit de tout bon sens. Mais pour Maurice Allais, conformément à la pensée de Claude Bernard, mais aussi Albert Einstein lui-même, « l’Expérience est le seul juge ».(5) (6) (7) (8)
Dans mon raisonnement, Michelson ne peut constater une différence de vitesse de la lumière cheminant dans deux directions perpendiculaires par le simple fait que les ondes ELM sont issues d’inductions des vibrations des particules du vide dans le référentiel en mouvement et que ce vide fait d’une mer de particules étranges tourne selon la 3ème loi de Kepler. C’est comme si un passager d’un avion voulant mesurer la vitesse du son, dit que les voyageurs en arrière de lui reçoivent le son avant ceux qui sont devant lui, l’avion allant à la vitesse proche du son, et de dire que le son est plus rapide dans un sens. C’est l’air qui produit la propagation, donc si l’air se déplace, la propagation suit le référentiel en mouvement de l'air et il ira toujours à la même vitesse dans son référentiel et dans tous les sens à l’intérieur de l’avion. Les ondes électromagnétiques ont aussi un support de propagation : c’est le flux du vide en mouvement autour du soleil avec la Terre co-mobile avec lui. Les ondes ont une vitesse constante dans un même référentiel dans ce cas de flux du vide.
De toutes façons ce n’est pas parce que l’expérience de Michelson n’a pas trouvé de différence de vitesse que l’on pouvait dire alors, qu’il n’y a pas d’éther. La seule évidence que l’on puisse affirmer est que si l’éther existe, il a certainement été mal compris pour le cerner expérimentalement. Il est aisé de rejeter ce que l’on ne contrôle pas et ce que l’on ne comprend pas. C’est un illogisme de dire que le support des ondes ELM n’existe pas, par l’échec de Michelson, sans donner une alternative aux modes de transmission ou de propagation.
Un rayon, nous le verrons dans d’autres chapitres, n’est pas propagé. C’est une particule avec un mouvement d’inertie qui suit les lois du mouvement de Newton.
Les travaux scientifiques de Maurice Allais concernent le domaine de la gravitation, de la vitesse de la lumière et de l'anisotropie de l'espace. Maurice Allais affirme aujourd'hui avec force que ces anomalies sont réelles et indiscutables et qu'elles remettent en cause la théorie de la relativité.
Ces dernières années, Maurice Allais, convaincu d'un éther mobile, se heurte à la communauté scientifique qui ne peut accepter de réintroduire le concept d’éther mobile. Il faut comprendre que la relativité générale a tellement été glorifiée que les implications personnelles dans cette théorie, d’un très grand nombre de physiciens et d’universitaire, sont très fortes. Il y a une très grande résistance au changement qui se compare aisément à de la conservation d’énergie et au chemin du moindre effort. Si la communauté ne lâche pas prise, l’impasse actuelle tiendra encore un temps relativement interminable.
Dans une étude récente en 2008 (31), avec des moyens modernes, des observations automatiques comparables ont été menées pendant deux années complètes. Il est avéré que des déviations existent dont on a forte raison de croire qu'elles ne sont pas d'origine purement thermique. « Déviations lumineuses d'Allais-Esclangon, un indice expérimental concernant les relations de la gravitation et de l'électromagnétisme »
« Il serait dommage de se laisser arrêter dans l'observation par des présupposés théoriques qui excluraient a priori un phénomène pourtant réel. » Annales de la Fondation Louis de Broglie, Volume 33, no 3-4, 2008.
Au sujet de la constance de la vitesse de la lumière dans le vide quelque soit le référentiel où elle se propage Nous savons que le vide a des propriétés : la permittivité, la perméabilité, la propagation des ondes, Le modèle actuel de la propagation de la lumière dans le vide fait appel aux particules virtuelles présentes à tout instant dans le vide(18). Dans le chapitre « Les lois de Kepler appliquées aux particules. », je considère les propriétés du vide que j’appelle « le flux du vide », comme un champ gravitationnel en rotation de vitesse variable selon V2 R qui est une variante de la 3ème loi de Kepler. V est la vitesse de rotation du flux. R est la distance au centre de gravité. Dans l’article «Nature du proton», la dualité onde-particule montre que la rotation du flux est engendrée par l’énergie intrinsèque des objets.
Chaque masse compacte génère son propre référentiel de flux gravitationnel en mouvement circulaire. Le Soleil, la Terre, la Lune, un atome, un proton, un électron, une molécule ou un objet quelconque ont chacun un flux en rotation autour de leur masse.
Prenons le cas d’une lampe sur le toit d’un train qui roule à la vitesse de 50 km/h. Le faisceau de lumière émis correspond à des ondes ELM voyageant à la vitesse de la lumière. Dans ce cas, il ne faut pas additionner la vitesse du train puisque les ondes de lumières ELM sont propagées dans tous les sens par le flux du vide. Tout comme l’émission d’un son sur ce même train ne doit pas être additionnée à la vitesse du train puisque l’air extérieur est le support de propagation du son émis sur le train. Le référentiel du flux du vide de la Terre est en rotation, à la vitesse Vf de 7908 m/s selon G MTerre = Vf2 R. Il est imbriqué dans l’orbite de la Terre autour du Soleil, entrainé dans le référentiel du flux du vide du Soleil qui est à la vitesse de 30 km/s á la surface de la Terre. Le mouvement du référentiel du flux du vide en rotation de la Terre, est le même sur le train que sur le quai. La lumière se propage dans un milieu compressible, le flux du vide. Par sa permittivité et sa perméabilité, le champ de gravitation d’une masse centrale est un flux avec une constante V2 R. La vitesse carrée du flux décroit avec la distance, ce qui donne un gradient de vitesse qui augmente en s’approchant de la masse centrale. Ce gradient modifie l’indice de réfraction du vide de telle sorte qu’il augmente en s’approchant de la masse et courbe les ondes électromagnétiques dans la direction de l’indice de réfraction le plus fort, donc vers un corps. La vitesse de la lumière ralentie et courbe dans le vide lorsqu’elle interagit avec un corps.
La nouvelle loi de propagation de la lumière Une onde électromagnétique se propage dans le vide à la constante de la vitesse de la lumière dans chaque référentiel qu’elle traverse par les propriétés du vide.
Les référentiels de l’espace ont des flux gravitationnels servant à la propagation.
Les flux tourbillonnaires autour des galaxies se déplacent avec elles, Le déplacement global de ses flux constitue le référentiel de la galaxie. La vitesse de la lumière dans ce référentiel est constante dans le vide.
Pour connaître la distance parcourue des ondes électromagnétiques ayant traversé plusieurs référentiels de l’espace, il faut tenir compte de la vitesse de la lumière c dans le vide, et l’ajuster avec la vitesse de chacun des référentiels franchi par l’onde électromagnétique.
Sur Terre le référentiel de son flux est le flux en rotation provenant du Soleil à 30 km/s, assemblé vectoriellement au flux de la Terre en rotation autour d’elle à 7908 m/s à la surface.
Les distances de la Terre aux galaxies, Soleil, astre, planètes sont des mesures expérimentalement prises à l’aide de certaines ondes lumineuses ou non. Elles sont calculées selon la constante de la vitesse de la lumière dans le vide. La variabilité de la vitesse, selon les référentiels parcourus, modifie les distances qui ont été établies pou les planètes, les étoiles, les galaxies et l’Univers. Aucun étalon autre que la vitesse des ondes ne nous permet de mesurer les distances célestes.
La variabilité des vitesses des ondes électromagnétiques hertziennes selon le référentiel ne s’applique pas aux rayons qui sont des particules électromagnétiques.
Ondes, rayons électromagnétiques et particules Il faut dissocier l’onde électromagnétique, qui se propage par un support, d’un rayon. Une onde électromagnétique se propage et se disperse. Son énergie diminue. Elle a un amortissement selon 1/R2. Un rayon électromagnétique est une particule avec une trajectoire. Il n’est pas propagé, il est en conservation d’énergie. Leur nature et leur évolution diffèrent.
Un rayon est une onde stationnaire, un soliton en anneau qui se déplace par inertie, ne nécessitant pas de support de propagation, ce qui n’est pas le cas des autres ondes électromagnétiques hertziennes.
Le rayon particule comprend un quantum d’action ondulatoire piégé, entretenu tournant en boucle par la conservation du moment angulaire. La vitesse de groupe du rayon particule va jusqu’à la vitesse de la lumière. Le rayon particule a une trajectoire. Il produit un faisceau. Il peut se moduler par battement et transmettre de l’information.
Une onde électromagnétique est immatérielle. Elle est le résultat de la vibration d’une particule. Par exemple un électron fait vibrer par pression et dépression le flux du vide propageant à son tour dans toutes les directions cette vibration par induction mutuelle sans aucun déplacement a distance de l’électron.
L’information qu’une onde électromagnétique hertzienne transporte, se multiplie et se retrouve simultanément dans les trois dimensions de l’espace. Le rayon, comme la particule, transporte l’information, mais dans une seule direction, sans se dédoubler. L’interaction du rayon-particule avec le flux du vide produit des ondes électromagnétiques (évanescente dans certain cas) qui se propagent. Le flux du vide est un support de propagation par ses propriétés d’induction électromagnétique.
Une antenne électromagnétique émettrice est un exemple. L’électron particule, qui vibre dans l’antenne à une certaine fréquence, produit une variation électromagnétique induisant le flux du vide à la même fréquence, qui à son tour se propage de proche en proche dans toutes les directions.
Inversement, les électrons d’une antenne réceptrice à distance, en contact avec le flux du vide, reçoivent la variation électromagnétique du champ et vibrent par induction à la même fréquence, produisant ainsi un courant électrique à son image dans le circuit de l’antenne.
Dans la physique actuelle, par définition, la lumière, des ondes électromagnétiques, des rayons ultraviolets, x, alpha bêta et gamma, sont tous constitués de photons. Le photon est le médium par définition du transfert d’énergie.
Dans cette conception, je différencie les ondes électromagnétiques des rayons particules.
Un rayon est une particule en mouvement, il conserve le moment cinétique d’un quantum d’action ondulatoire en boucle, et il maintient sa fréquence et son énergie. Il a une seule trajectoire. C’est un quantum d’action en boucle. Il s’étire en vrille selon sa vitesse cinétique, sans changer sa longueur d’onde, donc le rayon R de la boucle. Il se déplace sans support. En augmentant la vitesse cinétique, le pas de la vrille croît. Support de propagation des ondes ELM ? Certaines ondes stationnaires, comme le quanton en boucle, ne sont pas propagées, mais conservent leur énergie et leur longueur d’onde par la conservation de leur moment angulaire. Le rayon R de la boucle est invariable. Des ondes particules permettent de remplir l’espace sans support de propagation. Il est important d’avoir un premier niveau de particule servant de support de propagation pour avoir ainsi une structure globale cohérente. Le moment angulaire d’un quantum d’action ELM en boucle, nous offre cette possibilité. Ce modèle s’approche du modèle "Loops and spinfoams" de Rovelli(46)et du modèle d’électron comme une boucle de courant circulaire ou modèle de l’électron en anneau, parue en anglais dans « common senses science » (14) : Le modèle en anneau de l'électron est un modèle physique, en opposition avec la description mathématique abstraite donnée pour le quantum de l'électron. Le modèle en anneau dépend des lois bien établies de l'électricité et du magnétisme, et il est un modèle d'électrodynamique classique qui suit la loi de cause et effet.
La conception de l’onde électromagnétique tournant en boucle, donne un premier niveau élémentaire, pouvant remplir l’espace et permettant ainsi la propagation des ondes ELM.
Le remplissage de l’espace comprend en conséquence des particules élémentaires de nature électromagnétique. Des particules de très petites énergies peuvent remplir l’espace avec une économie importante, puisque plus l’onde-particule a un grand rayon plus faible est son énergie.
Maxwell concevait la propagation dépendante du temps de deux manières possible : le transport d’une substance matérielle à travers l’espace ou la propagation d’un état de mouvement ou de tension dans un milieu déjà existant dans l’espace.
Le support de la propagation des ondes ELM de l’espace n’est pas matériel mais ondulatoire, puisqu’un photon peut céder ou recevoir de l’énergie. Le photon est la particule élémentaire médiatrice de l’interaction électromagnétique. Deux particules quelconques (photon inclus), chargées électriquement, interagissent par l’échange de photons. Un espace construit de particules ondulatoires permet la propagation ELM. Les particules ondulatoires remplissant l’espace (mer virtuelle étrange, flux du vide), peuvent propager les ondes ELM.
La vitesse de la lumière des rayons et leur masse La limite de la vitesse des ondes ELM est due aux propriétés du vide dans chaque référentiel de flux propagateur en mouvement.
Les rayons sont des particules qui voyagent comme un objet, sans propagation pour les faibles vitesses, la sphère électromagnétique de la particule se déformant légèrement. Lorsque la vitesse de la particule est significative, par exemple lorsque un électron orbite autour du noyau de l’atome, la partie électrique tournant en boucle de l’électron forme une hélice, tandis que la partie magnétique s’assemble avec le noyau de l’atome.
La particule électron, par interaction avec un rayon photon, reçoit deux composantes: une partie impulsion et une d’énergie. Prenons un cas d’absorption complète d’un rayon photon incident. L’impulsion transmise, augmente la vitesse cinétique de l’électron et le transfert de l’énergie augmente la fréquence, en diminuant le rayon R de la boucle intrinsèque, donc de sa longueur d’onde. Les vrilles ondulatoires de l’électron et du rayon photon s’entrecroisent et fusionnent (par réfraction dans le flux de la particule). Dans le cas d’une absorption partielle seulement, une partie de la fréquence est absorbée. Le rayon photon particule incident, par perte d’une partie de sa fréquence, diminue son énergie et augmente sa longueur d’onde. L’énergie ondulatoire intrinsèque de la particule, par sa boucle en vrille, produit une variation de flux et un champ ELM, dus à l’accélération et à son changement de forme. Ce flux ELM s’induit dans les particules virtuelles du vide proche d’elle, qui à leur tour, induisent les autres particules dans les trois dimensions, établissant ainsi à la vitesse c, la propagation de la variation ELM originale. Cette possibilité se produit parce que les particules virtuelles du vide peuvent recevoir la variation, par induction ELM et la retransmettre, suggérant ainsi que les particules élémentaires forment des spires électriques et des sphères ELM. En contre réaction, lorsqu’il y a induction, les particules secondaires reçoivent de l’énergie de la particule primaire, laquelle, perd cette variation d’énergie et retrouve sa stabilité originale.
Dans cet exemple nous voyons que la particule en accélération voyage et se déforme, mais à une certaine vitesse elle rayonne, c'est-à-dire qu’elle retransmet en onde ELM l’énergie qu'elle reçoit. Cette limite de vitesse n’est pas uniforme pour toutes les particules. Elle est fonction de la fréquence interne de chaque particule. Plus une particule a une fréquence élevée, plus sa vitesse limite avant rayonnement est grande.
Ce rayonnement est un champ vibratoire des particules virtuelles du vide, que nous pouvons comparer à la propagation du son dans l’air.
L’énergie du rayonnement propagé et son équivalence en masse sont partagées par toutes particules qui participent à la propagation, à l’instant t.
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