Actuellement, la communauté scientifique n'a pas d'explication rationnelle sur les mécanismes générant la force gravitationnelle. Par contre, il semble qu'elle comprenne assez bien les actions de ce phénomène. Deux corps s'attirent proportionnellement à leur masse. La loi de l'attraction ou de la gravitation universelle, formulée par Newton en 1687, est le principe fondamental des mouvements astronomiques.
Plusieurs physiciens, dont Albert Einstein, ont tenté, sans succès, d'unifier la gravitation aux autres forces.
Unir la gravitation aux autres forces, c'est d'abord de découvrir la source gravitationnelle, ses principes d'actions, puis trouver son mode de fonctionnement. C'est-à-dire par quel processus le phénomène est produit. Quels sont les interactions, les particules, les forces élémentaires et composants ondulatoires qui génèrent la gravitation?
Je développe un nouveau modèle de particules élémentaires comprenant un tourbillon primaire électromagnétique et un vortex secondaire gravitationnel. Je montre la fusion progressive des vortex secondaires gravitationnels, due à une dépression au sein même des vortex. Cette attraction par dépression n'est autre que la force de gravitation.
Ce nouveau modèle, simple et élégant, de particules électromagnétiques fait ressortir les éléments essentiels à une bonne compréhension de la dualité onde particule. Une triple existence apparait en comptant le vortex secondaire gravitationnel. Ce qui en fait une « particule ondulatoire gravitationnelle ».
La boucle du quantum d’action formant le vortex primaire est une onde électromagnétique stationnaire circulaire. Elle suit le modèle de de Broglie. (Livre Physique générale De Douglas C. Giancoli (9. 11 L’hypothèse de de Broglie page 249). (19)
Le Soleil, pour Kepler et ses prédécesseurs, engendre un entrainement des planètes tangentiellement aux orbites. Dans la conception de Newton, les forces ne sont qu’attractives et radiales.
Une grande partie de l’échec de la compréhension de la gravitation est due à l’abandon du principe de Kepler pour celui de Newton, alors que Newton, pour construire son modèle de gravitation, est parti de la 3ème loi de Kepler. Il retire l’entrainement de Kepler pour une force à distance radiale, sans que ni lui, ni aucun de nos contemporains ne réussissent à prouver cette hypothèse.
Par l’assemblage et la réactualisation des deux principes de ces géants, j’arrive à une nouvelle formulation qui inclue l’entrainement de Kepler, et une force radiale par dépression différente de celle de Newton. L’équilibre des forces établit aussi le positionnement orbital des objets selon leur masse volumique.
Les théories de cette recherche ont été corroborées par des mesures expérimentales antérieurement établies.
Cette subtile dynamique révolutionne aussi notre vision de la structure du noyau atomique.
Cette recherche est surtout axée sur l’unification des forces et des particules.
La nature agit de la façon la plus économique en énergie et en simplicité. La théorie du Tout, le graal théorique derrière lequel court la communauté scientifique, est de réunir la gravitation, ayant son royaume dans l’infiniment grand, avec le comportement des particules de l’infiniment petit.
L’électron et les particules élémentaires, sont formés d’ondes électromagnétiques circulant en boucle, cette rotation ou vortex forme au repos inertiel, un anneau électrique entouré de sa partie magnétique donnant une forme globale quasi sphérique. La vitesse de ces ondes en boucle est celle de la lumière.
Pour une particule, son impulsion p, son énergie E et sa masse m, sont inversement proportionnelles au rayon R, de la boucle d’énergie. p = ћ / R = mo c. L’énergie E = mo c2.
Un vortex secondaire observé expérimentalement est produit par le mouvement de la boucle électromagnétique des particules. Les particules virtuelles du vide se trouvent naturellement entrainées par ce tourbillon secondaire de flux d’énergie formant le champ gravitationnel.
L’entrainement des masses par la rotation de ce vortex secondaire, brise le principe d’attraction de Newton et réinstalle le principe d’entrainement de Kepler.
L’expérimentation est la seule juge. J’ai confronté à cette théorie les données expérimentales déjà établies.
D’autre part les planètes sont situées sur presque le même plan parce que le Soleil produit la rotation du vortex secondaire du flux gravitationnel (du flux du vide) autour de lui, perpendiculairement à son axe de rotation, créant ainsi un flux en rotation par lequel les planètes sont entrainées. Je montre comment le Soleil produit ce flux en rotation et comment l’entraînement des planètes est réalisé.
La force d’entrainement de trainée est beaucoup plus faible que la force d’attraction de dépression radiale. Ce qui explique que les orbites des satellites avant de se stabiliser dans le sens de la trainée du tourbillon et à se positionner à la distance fixée selon leur masse volumique, doivent attendre des délais très long. La force de trainée agissant légèrement sur le satellite à chacune de ses révolutions finit par harmoniser la stabilité des orbites.
Les lois générales de la gravitation actuelles sont ébranlées, à la suite d’une découverte majeure. Les rayons orbitaux moyens des planètes sont inversement proportionnels à leur masse volumique. Cette loi se généralise aux noyaux atomiques. Deux protons orbitant en couple, formant un nucléon, ont chacun une masse volumique colossale de 1,78 x 1016 kg/m3. Le rayon orbital de chacun des protons est si petit qu’il se situe au centre de chaque proton. Les deux protons en couple se retrouvent fusionnés par la force de gravitation.
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Le calcul donne un rayon orbital de 1,177363x10-30 mètre, c'est-à-dire pratiquement nul. Cette nouvelle compréhension de la gravitation, conduit à la liaison des protons et des neutrons dans les nucléons, retenus par la seule force gravitationnelle, unifiant ainsi la gravitation à la force forte. Unifiant aussi les mécanismes et forces de l’infiniment grand avec l’infiniment petit.
Aussi la Lune, par sa densité relative, se place sur son orbite stable. Si sa densité massique rLune augmente, la Lune se rapproche de la Terre et s’en éloigne si elle diminue. Par contre si la masse de la Terre MTerre augmente, le rayon de l’orbite lunaire RLune s’éloigne selon la nouvelle relation :
RLune = K MTerre1/2 /rLune
De l’infiniment petit à l’infiniment grand, ce pas d’unification permettra à la physique, de se libérer de l’impasse qui dure déjà depuis plus d’un siècle.
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« Quand le fait que l'on rencontre ne s'accorde pas avec une théorie régnante, il faut accepter le fait et abandonner la théorie. » Claude Bernard.
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« On rend plus de service à la science, a-t-on dit, par l'erreur que par la confusion, ce qui signifie qu'il faut pousser sans crainte les idées dans tout leur développement pourvu qu'on les règle et que l'on ait toujours soin de les juger par l'expérience. L'idée, en un mot, est le mobile de tout raisonnement en science comme ailleurs. Mais partout l'idée doit être soumise à un critérium. En science, ce critérium est la méthode expérimentale ou l'expérience, ce critérium est indispensable, et nous devons l'appliquer à nos propres idées comme à celles des autres. » Claude Bernard (1865).
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« Et si la nature est très simple et totalement similaire à elle-même, elle suit le même principe pour réguler les mouvements des plus petits corps qu'elle le fait pour réguler ceux des plus grands.» Isaac Newton.
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