Ce chapitre a pour objectif de faire une synthèse de la nature de la gravitation, en prenant les divers principes fondamentaux développés précédemment, et en fait ressortir des généralités.
La Particule s’autocontrôle par réfraction
Le principe de conservation du moment angulaire et le principe de réfraction maintiennent la rotation en boucle de l’onde de la particule formant une boule électromagnétique.
L'optique géométrique nous enseigne qu'un rayon lumineux est dévié lorsqu'il traverse un milieu d'indice de réfraction variable, tournant sa concavité en direction des indices croissants.
L’onde électromagnétique en boucle de la particule se dirige dans la direction du plus fort indice de réfraction. Le tourbillon du flux qu’une particule engendre autour d’elle est de densité dégressive de sorte que l’indice n de réfraction est plus fort proche de sa surface et décroit avec l’augmentation de la distance. Obligeant l’onde électromagnétique à voyager, à une distance selon son d’énergie, plus ou moins proche du centre de la particule. Le rayon de la boucle de l’onde est inversement proportionnel à son énergie.
L’onde électromagnétique de la particule conserve sa boucle par la variation de densité du tourbillon de son flux. La particule s’autocontrôle par réfraction.
L’indice de réfraction suit la masse volumique selon la loi de Gladstone Dale. La loi de Gladstone relie l'indice de réfraction n d'un gaz à sa masse volumique. Elle stipule que n-1 est proportionnel à la masse volumique r :
n - 1= K r
Chaque particule produit un champ gravitationnel
Toute particule devient massive par son tourbillon de particules virtuelles dés qu’elle se trouve en interaction avec un autre tourbillon de particules virtuelles d’un autre corps.
La particule est une onde électromagnétique en boucle son rayon dépend de son énergie pour la conservation de son moment cinétique :
E= h n
E= h c/l,
l = h c / E,
R = h c /(m c2)
h = m c R
la vitesse de la lumière de l’onde en boucle entraine par interaction électromagnétique les particules étranges autour d’elle. De sorte à former un tourbillon secondaire autour d’elles de flux du vide étant une mer de particules virtuelles ou de la matière noire.
Ces tourbillons de particules virtuelles, réelles et mer étranges s’unissent de proche en proche par dépression pour former avec la matière de gigantesques tourbillons de systèmes planétaires, astraux et galactiques les flux gravitationnels.
Force de trainée des Orbites Binaires
Prenons deux corps uniformes ou deux particules A et B isolées d’énergie intrinsèque identique, avec leur flux en tourbillons secondaire gravitationnel autour de chacune d’elle, la distance initiale les séparant est relativement éloignée pour éviter la fusion par la force de dépression. La vitesse relative de l’une à l’autre particule est nulle au départ.
(F5) le tourbillon du flux gravitationnel de la particule A selon la distance de la particule B a une certaine vitesse par G MA=V2 R, de sorte qu’il produit sur la particule B une force de trainée qui la met en mouvement dans la direction du tourbillon gravitationnel de A, la force de trainée diminue avec le mouvement dans le flux de la particule B jusqu’à devenir nulle lorsque la particule B est co-mobile avec le tourbillon de A. Ce principe de A vers B est réciproque de B vers A.
Les deux corps ou particules sont entraînées en rotations sur deux orbites liées par les deux flux du vide gravitationnels en tourbillon de leurs vis-à-vis.
Les deux masses sont entraînées orthogonalement par les flux gravitationnel en rotation autocontrôlant les vitesses orbitales.
Le rayon orbital stable d’un satellite est fonction de sa masse volumique
Conditions de stabilité de l’orbite du satellite
Les planètes et les satellites qui sont en révolution autour d’une masse centrale beaucoup plus massive, se dirigent vers leur rayon de stabilité, par le simple fait que toutes les forces impliquées se compensent. Lorsque le satellite est entraîné par le flux gravitationnel de la masse centrale, il change sa vitesse, accélère et sa force d’inertie s’adapte. Sa force centrifuge grandit selon la courbure de la révolution du corps. Le gradient de vitesse du flux gravitationnel selon la constante V2 R produit une force de dépression qui diminue avec l’éloignement du satellite.
La force centrifuge est proportionnelle à la vitesse au carré de l’objet Vo2 et la force de dépression est proportionnelle à la vitesse au carré du flux gravitationnel Vf2.
Forces de dépressions et volumes des corps
Cet exemple calculé du système Terre Lune montre que la force de dépression de la Terre sur la Lune est égale à la force de dépression de la Lune sur la Terre et indique que les volumes Terre et Lune, entrant dans les fonctions de stabilisation des orbites par leur masse volumique, agissent aussi sur la force de dépression.
R2Lune = Ks MTerre1/2 / rLune =Ks MTerre1/2 / (masse volumiqueLune) |
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R2Lune=Ks MTerre1/2/rLune =Ks MTerre1/2 /(mLune/VolumeLune) |
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mLune = Ks MTerre1/2 VolumeLune / R2Lune |
7,325887x10+22 |
Vo2 Ro à la stabilité la vitesse de l’objet Vo est à un rayon Ro. |
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Force centrifuge = m Vo2 Ro /Ro2 |
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Force de dépression = m Vf2 Ro /Ro2 |
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Force de dépression F1 =F2 = G MTerre mLune /RLune2 = |
1,9766796617x10+20 |
Pour la force de la Terre sur la Lune en remplaçant
mLune par Ks MTerre1/2 VolumeLune / R2Lune |
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Force de dépression de la Terre sur Lune
F1 = G MTerre1,5 Ks VolumeLune / RLune2/ R2Lune = |
1,9766796617x10+20 |
Pour la force de dépression de la Lune sur la Terre en remplaçant
MTerre par Ks MLune1/2 VolumeTerre / R1Terre |
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Force de Dépression Lune sur Terre = Ks G mLune1,5 VolumeTerre / RLune2/ R1Terre = |
1,9766796617x10+20 |
Force de Dépression Terre sur Lune = G M m / Ro2 = G MTerre mLune / RLune2 = |
1,9766796617x10+20 |
en remplaçant mLune par son calcul Ks MTerre1/2 VolumeLune / R2Lune |
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Système Terre Lune
Force de dépression = Ks G MTerre1,5 VolumeLune / RLune2/ R2Lune
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R2Lune est la distance du barycentre Terre Lune à la Lune.
RLune est la distance Terre Lune.
Pour une orbite stable autour d’une masse centrale beaucoup plus massive la distance D entre les deux corps est proche du rayon R2 de l’orbite au barycentre, nous pouvons arrondir la distance selon D = R2 = a :
Fd = G Mcentrale1,5 Ks Volume Satellite / D2 / R2
Fd = G Mcentrale1,5 Ks Volume Satellite / a3
a3 = G Mcentrale1,5 Ks Volume Satellite / Fd
La force de dépression vers la masse centrale diminue proportionnellement au cube du rayon (a3) de l’orbite et augmente avec le volume du satellite.
Le cube du rayon de l’orbite est inversement proportionnel à la force de dépression et est proportionnel au volume du satellite.
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Équilibre des forces d’entraînement, centrifuge et de dépression
Quatre forces sont appliquées sur un satellite pour qu’il stabilise son orbite. Deux sont axiales et deux orthogonales à l’axe.
1) La force maîtresse qui engendre les autres forces gravitationnelles est due à la révolution de l’onde électromagnétique en boucle de chaque particule contenue dans les corps. Cette révolution produit un flux en tourbillon secondaire qui se déplace orthogonalement à l’axe de chaque particule et en se fusionnant par dépression forme de plus gros tourbillons.
2) La force de traînée est produite par le tourbillon du flux d’un corps sur un autre. C'est la force de traînée qui accroît et décroit la vitesse de l’objet. Elle accélère le corps tant qu’il n’est pas co-mobile avec le flux tourbillonnaire. La force s’estompe lorsque les vitesses de l’objet et du flux sont vectoriellement identiques.
3) La force de dépression ou force du gradient de pression du flux tourbillonnaire gravitationnel, diminue le rayon orbital en poussant l’objet vers le centre de gravité. Elle produit la courbure de la trajectoire du flux et de l’objet.
4) La force centrifuge, qui est due à la courbure de la trajectoire de l’objet et à la vitesse courante de l’objet, cette force augmente le rayon en poussant l’objet vers l’extérieur. Elle existe par la force d’inertie d’entraînement de l’objet acquise, la vitesse du corps se modifie par la force de traînée du flux gravitationnel des autres corps.
La résultante donne la direction que prend l’objet réellement dans son référentiel. La dynamique de la variation du rayon orbital modifie les forces axiales qui changent à leur tour le rayon récursivement, jusqu’à l’équilibre des quatre forces impliquées.
Le rayon et la vitesse de l’orbite stable ne sont pas le fruit du hasard. Ils sont prédéterminés par la masse volumique du satellite et par la masse centrale.
Calcul de l’équilibre des forces :
G M = Vf2 R
Vf = Vitesse du flux de l’astre centrale selon le rayon de l’orbite R.
Vo = Vitesse de l’objet.
Force Centrifuge Terre = mTerre Vo2/ RTerre
Force de dépression Terre = mTerre Vf2 Ro /Ro2 = G MSoleil m Terre / RTerre Soleil2
Force de dépression Lune = mLune Vf2 Ro /Ro2 = G M Terre mLune / RLune Terre2
Selon le positionnement RLune = Ks MTerre0,5 / rLune
mLune = Ks MTerre0,5 Volume Lune / R2Lune
Force de dépression Lune = G MTerre Ks MTerre0,5 VolumeLune / RLune2 / R2Lune
Force de dépression Lune = G MTerre1,5 Ks VolumeLune / RLune2 / R2Lune
Force de dépression Terre = G MSoleil MSoleil0,5 Ks VolumeTerre / RTerre2/ R2Terre
Force de dépression Terre = Vf2 RTerre M Soleil0,5 Ks VolumeTerre / RTerre2/ R2Terre
Force de dépression Terre = Vf2 MSoleil0,5 Ks VolumeTerre / RTerre/ R2Terre
Condition d’équilibre des forces radiales :
Force centrifuge Terre - Force de dépression Terre = 0
mTerre Vo2 / RTerre - Vf2 MSoleil0,5 Ks VolumeTerre / RTerre/ R2Terre = 0
rTerre Vo2 = Vf2 MSoleil0,5 Ks / R2Terre
Relation d’équilibre des Forces centrifuge et de dépression |
R2Terre Vo2 / V f2 = Ks M Soleil0,5 / rTerre
R2sat Vo2/Vf2 = Ks Mcentrale0,5/ rsat
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R2Terre est la distance du barycentre Soleil Terre à la Terre.
Autocontrôle et équilibre de l’orbite
Voyons, selon ces expressions, comment s’autocontrôle la vitesse de l’objet et le rayon de l’orbite, pour arriver à l’équilibre. En isolant la vitesse et le rayon de l’objet : Vo et Ro.
R2Terre Vo2 / Vf2 = Ks MSoleil0,5 / rTerre
Vo2 R2Terre = Vf2 Ks MSoleil0,5 / rTerre
Selon le théorème les corps produisent un tourbillon du fdv autour d’eux :
Vf2 RTerre = G MSoleil
Ce qui nous donne lorsque la vitesse du corps Vo est co-mobile avec la vitesse du fdv Vf :
Vo2 = Vf2
La distance Terre Soleil RTerre est très proche de la distance Terre au brycentre Terre Soleil, dans ce cas :
Vo2 RTerre2 = G MSoleil Ks MSoleil0,5 / rTerre
Vo2 RTerre2 = G MSoleil1,5 Ks / rerre
Autocontrôle de l’orbite |
Vo2 Ro2 = (G Mcentrale1,5 Ks / ro) |
La partie (G Mcentrale1,5 Ks / ro) est constante pour une même planète. Nous voyons que la vitesse de l’objet Vo diminue lorsque son rayon Ro augmente et vice-versa, pour conserver l’équilibre des forces de dépression et centrifuge.
Recherche d’équilibre :
Force centrifuge – Force de dépression = 0.
Les deux forces, centrifuge et de dépression sont variables. Elles s’opposent et ajustent le rayon et la vitesse de l’objet en tenant compte de la vitesse et de la position courante de l’objet, ceci jusqu’à ce qu’elles se compensent. Lorsque la vitesse de l’objet en orbite est lente, la force centrifuge radiale est faible puisque qu’elle dépend de la vitesse de l’objet, Fc = m Vo2/R. La force de dépression plus forte que la force centrifuge, diminue le rayon de l’orbite et accélère l’objet. La force de dépression est plus forte par la vitesse tangentielle du flux gravitationnel Vf plus grande Vf2 R = K ce qui nous donne une plus forte accélération a = Vf2/R avec R plus petit et Vf plus grand, donc une plus grande force F = m a. En augmentant la vitesse de l’objet la force de dépression accroît la force centrifuge. Cette relation de cause à effet persiste, s’inverse et oscille jusqu'à la position d’équilibre des deux forces radiales de sens opposés.
Force de dépression Terre, Fd = Vf2 MSoleil0,5 Ks VolumeTerre / RTerre
Fc = Fd
mTerre Vo2/ RTerre = Vf_Terre2 MSoleil0,5 Ks * VolumeTerre / RTerre2
RTerre = Vf2 M Soleil0,5 Ks * VolumeTerre / (mTerre Vo2)
RTerre = Vf2 M Soleil0,5 Ks / (rTerre Vo2 )
À l’équilibre l’objet est co-mobile avec le flux. Les vitesses du flux et de l’objet sont identiques.
Ro = (Vf_équilibre2/ Vo2) R_équilibre
Vf_équilibre2/ Ro = Vo2 / R_équilibre = gravitation g.
Autocontrôle du rayon de l’orbite de l’objet :
La vitesse du flux sur l’objet = Vf
La vitesse de l’objet = Vo
Ro = (Vf2/ Vo2) Ks Mcentrale0,5 / ro (a 1)
Vf2 / Ro = Vo2 / (Ks Mcentrale0,5 /ro) (a 2)
Vo2 = (Vf2 / Ro) (Ks Mcentrale0,5 /ro) (a 3)
À l’équilibre l’objet est co-mobile avec le flux, les vitesses du flux et de l’objet sont identiques.
Condition à l’équilibre.
(Vf2/ Vo2) = Ro / (Ks Mcentrale0,5 / ro ) = 1 (a 4)
(Vf2/ Vo2) = Ro / Roéq = 1 (a 4)
Ro_équilibre = Ks Mcentrale0,5 / ro (a 5)
Analysons la dynamique d’équilibre. Nous voyons dans l’expression d’autocontrôle (a 1) que le rayon orbital d’une même planète dépend seulement de la vitesse de l’objet et de la vitesse du flux gravitationnel (Vf2/ Vo2), les autres valeurs étant constantes. Dans (a 3), la vitesse au carré de l’objet Vo2 dépend de l’accélération gravitationnelle (Vf2 / Ro) de l’emplacement courant de l’objet Ro.
Si la vitesse du flux Vf est plus lente que la vitesse de l’objet Vo, la force centrifuge l’emporte sur la force de dépression et l’objet s’éloigne du centre de gravité en augmentant Ro.
Si la vitesse du flux Vf est plus rapide que la vitesse de l’objet Vo, l’objet prend la direction du centre de gravité en diminuant le rayon Ro.
Cette expression permet aussi de réaliser pourquoi la pomme de Newton tombe sur Terre. La vitesse du flux gravitationnel Vf est de l’ordre de 8000m/s à la surface de la Terre et la vitesse de rotation de la terre, qui est aussi la vitesse de l’objet Vo, est de 463 m/s. Comme le flux est plus rapide que l’objet, la pomme prend la direction du centre de gravité car la force de dépression est alors plus forte que la force centrifuge. En fait la pomme accélère par la condition d’autocontrôle des orbites. Elle va vers son orbite de stabilité, mais elle est arrêtée par le sol qui est sur son chemin.
Cette relation montre bien que pour chaque valeur de masse volumique, il y a un seul rayon pour un même système de masse centrale.
La conservation d’équilibre dans un système planétaire, augmente le rayon de l’orbite de stabilité lorsque la masse volumique de la planète diminue et vice versa.
La force de traînée, produite par la différence de vitesse entre l’objet et le tourbillon du flux du vide, ralentit ou augmente la vitesse de l’objet jusqu’à ce qu’il soit co-mobile avec lui.
Au départ, un objet a une vitesse initiale qui ne correspond pas à la vitesse du flux gravitationnel de la masse centrale. La force de trainée du flux centrale augmente ou diminue la vitesse de l’objet jusqu’à qu’il soit co-mobile avec lui. La force de trainée devient alors nulle. Le corps n’est pas pour autant sur une orbite et inclinaison idéale. Un autre corps passant proche de lui va modifier encore une fois sa vitesse. Le flux gravitationnel central va à nouveau agir sur lui le trainer en l’accélérant vers une orbite stable à un rayon orbital différent de la fois précédente. Tranquillement, par étapes successives, le corps va changer d’orbite et ou d’inclinaison selon sa masse volumique vers une position qui correspond plus à sa surface d’interaction ‘A’ avec le flux du vide (flux gravitationnel). Cela est dû à la force de trainée qui est proportionnelle à cette surface :
Force de trainée du flux du vide = ½ rf cd A Vr2.
Vr est la différence des vitesses du corps et du flux du vide (flux gravitationnel).
Valeurs des forces impliquées dans une orbite stable
Le flux flux gravitationnel est en révolution autour de chaque corps selon Vf2 R.
1) La force de trainée du flux Ft en révolution, entraîne la masse par accélération dans le sens de la rotation du flux gravitationnel jusqu’à ce qu’elle soit co-mobile avec elle:
Force de traînée du flux gravitationnel = ½ rf cd A Vr2. Sa direction est tangentielle.
2) La force centrifuge Fc est due à la vitesse de l’objet Vo en rotation. Elle est aussi appelée force inertielle d’entraînement : Fc = Fo = mo Vo2/ Ro. Sa direction est à l’opposée du barycentre.
3) La force de dépression (centripète) Fd provient du gradient de vitesse du flux gravitationnel Vf, suivant la distance du barycentre Vf2 = G M / Ro :
Fd = mo Vf2 / Ro
G M = Vf2 Ro
En remplaçant Vf2
Fd = G Mcentrale mo / Ro2.
Sa direction est vers le barycentre.
Nous constatons que les forces centrifuges et de dépression dépendent toutes deux de la masse mo et de la position de l’objet Ro, mais aussi de la vitesse l’objet Vo2 et de la vitesse du flux Vf2. La force de traînée change la vitesse du corps, ce qui modifie la force centrifuge. La force centrifuge est donc influencée par la surface d’interaction du flux gravitationnel avec le corps.
Survol du mécanisme causes et effets gravitationnels
La gravitation est une faculté des corps d’interagir entre eux. L’origine de l’action provient de la nature des particules et des propriétés du vide. La particule massive élémentaire est une onde électromagnétique à la vitesse de la lumière en boucle. La gravitation est électromagnétique. La boucle électromagnétique fait tourbillonner le flux du vide par entrainement. Le flux du vide est composé d’une mer de particules virtuelles qui lui donne ses propriétés. Il est dans l’espace et partout dans la matière. Une particule tend à être co-mobile dans le tourbillon d’un autre corps. Les tourbillons de flux du vide, produits se renforcent par fusions dépressionnaires formant un tourbillon de plus en plus énergique. Un objet se positionne par la force de trainée sur son rayon orbital stable, selon sa surface d’interaction avec le tourbillon du flux du vide, la force de trainée est proportionnelle aussi à la masse volumique. De telle sorte que les planètes les plus éloignées du Soleil sont les moins denses. Le produit de la masse volumique efficace par le rayon d’une planète est une constante de stabilité dans un système de masse central.
Masse_Volumique_Planete x Rayon Planète Soleil = Ks MSoleil1/2
Masse_Volumique_Lune x Rayon Terre_Lune = Ks MTerre1/2
Croquis d’un couple binaire.
Tourbillon du flux gravitationnel et attraction de Newton
Newton nous indique que deux corps isolés de masse différente produisent chacun une force sur l’autre corps égale entre elles de sorte que F1 = F2.
Voyons le principe qui mène à cette égalité, en partant du théorème que tout corps émet un tourbillon de flux du vide (flux gravitationnel) selon :
G M = Vf2 D,
Vf2 =G M /D,
un corps distant de D d’un autre corps, la vitesse carré Vf2 du flux gravitationnel en rotation, produite par ce corps est proportionnelle à sa masse selon :
La masse M1 = Vf12 D / G
La masse M2 = Vf22 D / G
La force F =M g = M V2/R
Une dépression créant une accélération est produite par le gradient de vitesse du vortex du flux gravitationnel qui diminue lorsque la distance au corps augmente. Le tourbillon engendre donc une accélération :
a = Vf2 / D
Un corps de masse M1 dans le champ d’accélération de l’autre corps de masse M2 avec une vitesse du flux du vide Vf2 du vortex, produisent conjointement la force :
F = M a
F1=M1 Vf22 /D
Similairement Un corps de masse M2 dans le champ d’accélération de l’autre corps de masse M1 avec une vitesse de flux du vide Vf1 du vortex produisent conjointement la force :
F2=M2 Vf12 /D.
Remplaçant dans ces deux expressions de la force, la valeur de la Masse par leur équivalence M1 = Vf1 D / G et M2 = Vf2 D / G. Nous obtenons :
F1=M1 * Vf22 /D = Vf1 D / G * Vf22 /D
F2=M2 * Vf12 /D = Vf2 D / G * Vf12 /D
F1 = Vf12 * Vf22 / G
F2 = Vf22 * Vf12 / G
Nous voyons que les deux forces de dépression du flux ou d’attraction F1 et F2 sont toujours égales entre elles quelque soit le distance D qui sépare les deux corps.
Par exemple la force de la Terre sur la Lune est égale à la force de la Lune sur la Terre.
F Terre = M Lune x g Terre = F Lune = M Terre x g Lune
En remplaçant maintenant les vitesses des flux par les masses qui les produisent nous obtenons la formule de gravitation de Newton pour l’attraction seulement soit :
Vf12 =G M1 /D
Vf22 =G M2 /D
F1= Vf1 x Vf22 / G = G M1 /D x G M2 /D /G
F1= G M1 M2 /D2
F2= Vf22 x Vf12 / G = G M2 /D x G M1 /D /G
F2= G M2 M1 /D2
Les forces de dépression du vortex du flux de deux corps produisent l’attraction gravitationnelle.